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Akacha, sous toutes ses formes

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Perché.
Quelque part entre Maceo Parker et une transe Gnawa de son cru.
Akecha danse, chante, coud, jardine, brode, martèle, cuisine, court, dort, sourit et pleure.

Y’a ceux qui disent qu’il dessine, qu’il peint, qu’il fait de l’art voir même de la philosophie. En fait Akecha ressent, respire et partage avec nous ce qu’il vit. Ses couleurs et ses personnages nous content la vie dans la cité, ses joies, ses malheurs, sa banalité, sa misère, sa gloire et ses rumeurs.
Les émotions de la rue deviennent des formes, dessinent des sourires, rides ou des crânes dégarnis puis se muent en ondes à l’ombre des lumières cathodiques qui les électrifient. Les angoisses se déclinent en rires qui se transforment en songes puis en poésie d’images qui n’ont qu’un seul parti pris : Akecha ressent, respire et partage avec nous, sans ARTIFICES, ce qu’il vit.
Y’a ceux qui disent que c’est du street art, du dripping, qu’il fait de l’art abstrait voir même parfois du graffiti. En fait Akecha fait de l’Akachart et c’est ce qui fait que ses œuvres sont en vie.
Akecha rêve, vibre, saute, vole, vocifère, serine, siffle, tape sur la table, argumente, débat et réfléchit.
Quelque part entre une mosaïque de Klimt et un clafoutis d’Einstein, Akecha vit.
Perché.
I wanna sing… mess around and do my thing.

K.